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Dans cette histoire des personnes sont manipulées et traités comme des esclaves. Pour autant, ce n’est pas une apologie de l’esclavage, ni plaidoyer pour les châtiments corporels

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Avez-vous visité le Dark web?

J’y ai trouvé une forme de site internet extraordinaire. On s’y connecte en entrant directement l’adresse IP. Cette adresse change souvent, et il faut la trouver sur des espèces de forum.

Chaque samedi, une actrice, quelquefois un acteur, joue le rôle d’une personne qui vient d’être enlevée. Tous jouent étonnamment bien. Une fois, c’était même un couple. Le plus souvent, c’est une femme, et j’adore la voir se plier à ce qu’on lui impose. Les quelques fois où c’était un homme, j’avais été un peu plus révolté.

À la fin de l’émission apparaissaient les 4 visages qui avaient été sélectionnés pour participer la semaine suivante. Puis il y avait aussi une procédure pour proposer des personnes.

Dernièrement, j’avais proposé ma voisine. Elle sortait son chien devant chez moi. J’avoue qu’être débarrassé d’elle ne me déplaisait pas. La voir nue dans la cage de cette émission « make your neighbour a slave » m’excitait beaucoup. Bien sûr, la probabilité qu’elle accepte de jouer dans l’émission était nulle, cette féministe aurait sûrement trouvé dégradant le traitement imposé aux participants. Mais c’était tellement excitant à regarder. Rien qu’à l’imginer j’en était dans tous mes états.

Pour autant, son portrait était apparu les deux semaines d’affilés.

Pour rien au monde, je n’aurais raté mon émission la semaine d’après.

Comme d’habitude, une caméra tournait autour de la cage en aluminium posée au sol. La personne nue dedans avait du mal à bouger. Des formes, je pensais à une femme.

-Quand la cage s’ouvrira, vous devrez aller vers la table, mettre le collier, les fers aux pieds, et attacher vos mains dans le dos. Ensuite, vous irez dire à l’homme qui est là que vous acceptez d’être son esclave, » raisonna une voix off.

-Non, jamais, » dit forcément une voix que je reconnaissais.

-L’homme va vous aider à vous décider. Il a un fouet. Si vous vous décidez en plus de dix coups, vous recevrez des coups complémentaires après, dans un pilori. Pour chaque coup au-dessus de 10, vous recevez un coup, une fois dans le pilori. »

-Non, » dit la voix avec nettement moins d’assurance.

Il y eut un clac, et la porte s’ouvrit. Vanessa rampa hors de sa cage, et se leva. La pièce n’était pas grande. Il y avait une porte, mais jamais, je n’avais vu quelqu’un l’atteindre. Vanessa l’avait repérée. Elle regarda la table, puis l’homme. Il fallait passer entre les deux pour rejoindre la porte.

-Laissez-moi passer, » dit-elle.

-Vous avez été choisie pour devenir une esclave. Vous partirez, mais une fois enchaînée et vendue, » dit l’homme froidement.

-Non, » répéta Vanessa. J’étais surpris de la voir jouer aussi bien. D’ailleurs effectivement, depuis deux ou trois jours je ne l’avais plus vue. Quel plaisir de voir qu’elle avait accepté de jouer!

L’homme donna un coup de fouet, il y eu un sifflement, et le claquement du fouet, suivi du hurlement de Vanessa. Elle venait d’être frappée à l’épaule. Elle tremblait.

-Vous êtes fou, ça fait mal! » Cria-t-elle.

Mais l’homme lui montra la table avec les entraves.

-Non… » commença-t-elle, mais elle fut coupée par le fouet. Non seulement elle hurla, mais la peur ou la douleur furent telles qu’elle urina sur place. Une marque rouge zébrait sa cuisse.

-Non, non… » dit-elle encore, alors que l’homme se préparait à frapper au nouveau. Elle se retourna et prit les coups dans le dos. Maintenant, les coups pleuvaient. Vanessa ne faisait que hurler, et finalement elle alla vers la table. Les coups cessaient. Elle prit le collier. Puis s’arrêta, hésitante.

Un coup supplémentaire la décida à mettre le collier, puis les fers aux pieds.

-Les menn… » commença -t-elle. L’homme monta son fouet.

-Non, je les mets, je les mets » dit-elle en les attachant dans son dos.

Marcher avec les fers semblait difficile. Se mettre à genoux aussi. J’aurais aimé être à la place de l’homme, l’avoir à genoux devant moi et ouvrir ma braguette. Elle fit mine de refuser. Il leva le fouet.

‘Quel manque de courage’, riais-je, tout en me masturbant. Je me demandais si à son retour j’aurais le courage d’aller la voir.

Vanessa dit la phrase : « J’accepte d’être votre esclave! » en baissant la tête et en pleurant.

Je la regardais sucer l’homme. J’aurais voulu que ce soit moi, cet homme.

Quand il eut éjaculé dans sa bouche, il la prit par le bras pour la diriger dans une autre salle, sur un pilori.

-Vous avez pris 12 coups. Il y deux coups de pénalité » dit l’homme.

-Non, non… » cria Vanessa, mais dans le pilori elle ne pouvait pas bouger : l’homme frappa l’intérieur de ses cuisses. Puis il laissa Vanessa dans le pilori 2h avant sa vente aux enchères. Evidement ces deux heures n’étaient jamais montrées, Ataşehir travesti et je demandais si des membres de l’équipe ne profitaient pas des candidats ainsi exposés. Avaient-ils signé un accord avant le jeu?

-Si vous savez qui vous a proposé pour ce jeu, cette personne sera là la semaine prochaine, » dit l’homme. Comme à chaque fois.

-William Ghost » dit-elle. J’étais sans voix. Voilà pourquoi elle avait accepté de jouer! J’avais un peu de mal à avaler ma salive. Mais je savais que je refuserais de participer.

Dans mon voisinage, Vanessa n’était pas réapparue, et le mardi suivant, trois policiers en uniformes vinrent me voir.

-William Ghost. Nous devons vous interroger à propos de la disparition de votre voisine. Vous venez avec nous sans difficulté, où on vous met les menottes? »

-Je… je viens, » dis-je, franchement mal à l’aise.

Ce qui m’étonna, c’est que deux d’entre eux montèrent avec moi à l’arrière de la voiture. Je me trouvais donc à l’arrière, dans une position inconfortable.

-Elle a disparu depuis longtemps, » demandais-je, l’air innocent.

-Vous êtes assez bien placé pour le savoir, » me dit un des hommes, je ne sais même pas lequel. Et je en me souviens pas du reste.

Quand je me suis réveillé, j’étais dans une cage en aluminium. La porte était fermée, et moi j’étais dans la position d’un chien dedans, et incapable de bouger tellement la cage était petite. Je reconnus immédiatement la salle dans laquelle j’étais. Personne ne m’avait demandé si je voulais participer!

Je testais la porte de la cage, mais elle était fermée. Je regardais autour de moi, et je voyais la caméra au sol. Je ne voulais pas juger, mais la cage semblait résistante. L’homme au fouet arriva vers moi, et il s’accroupit devant la cage.

-Bonjour William, content de participer à votre tour? » me dit-il en souriant.

-Euh, non, je… on peut s’arranger peut-être. »

-C’est déjà tout arrangé, William. Si vous atteignez la porte au fond, on vous libère, » me dit-il.

-Ce sera peut-être aujourd’hui la première fois, » ajouta-t-il. Son sourire me disait le contraire.

-Pour le reste vous connaissez les règles, » dit-il encore alors qu’il reculait dans la salle. Un homme apparut et ramassa la caméra au sol. Il filmait derrière moi.

-Quand la cage s’ouvrira, vous devrez aller vers la table, mettre le collier, les fers aux pieds, et attacher vos mains dans le dos. Ensuite, vous irez dire à l’homme qui est là que vous acceptez d’être son esclave, » raisonna une voix que j’avais entendu plusieurs fois devant mon ordinateur, mais là elle raisonnait différemment.

‘Il a une alternative : la porte,’ pensais-je

-L’homme va vous aider à vous décider. Il a un fouet. Si vous vous décidez en plus de dix coups, vous recevrez des coups complémentaires après, dans un pilori. Pour chaque coup au-dessus de 10, vous recevez un coup une fois dans le pilori. »

Le fouet me faisait peur, j’avais vu les marques qu’il avait faites sur les différents participants. Et nu, on se sent vulnérable vis-à-vis d’un fouet.

Il y eut un clac, et la porte de la cage s’ouvrit. Je rampais pour en sortir. Mes muscles protestaient d’avoir à me mouvoir après être resté immobile si longtemps. Mais j’arrivais à me lever.

Je regardais la porte. Avec une vue plus haute, je voyais mieux le problème : pour accéder à cette porte, il fallait passer entre l’homme et la table, et l’espace n’était pas large. Je comprenais mieux le dilemme de ceux qui m’avaient précédé.

Je me demandais comment attirer l’homme vers la cage, pour moi, passer de l’autre côté, ou au contraire passer en force. Juste, moi, j’étais nu, lui il avait un fouet.

-Tu as été choisi pour devenir un esclave. Laisse-toi enchaîner et vendre, tu souffriras moins, » dit l’homme froidement avant de lever son fouet.

Je décidais de foncer, sans répondre, je me mis à courir, tête la première, pour passer entre l’homme et la table, dans le but d’atteindre la porte. J’entendis le sifflement, et le claquement, et je hurlais de douleur, et tétanisé, je tombais au sol. Le fouet avait frappé ma cuisse gauche, j’en sentais la morsure.

Je me relevais, mais à peine avais-je refais deux pas, que le fouet me frappa à nouveau, m’arrachant un nouveau cri. L’homme me montrait la table à côté de lui. Je n’y étais pas encore, la salle était toute en longueur. Pour aller vers la porte je devais passer plus près de lui.

Sans un mot, je repris ma marche déterminée. Je le vis lever la main, quand je pensais qu’il allait frapper, je me retournais. Il y eut un nouveau claquement, et la brûlure en travers de mon dos m’arracha encore un cri. Je me retrouvais à genoux.

Je me relevais, mais à peine avais-je réussi qu’une autre brûlure m’arracha un cri. Je commençais à reculer, pour être hors d’atteinte du fouet. Mais je réagis : je n’avais pas le choix, pour atteindre la porte, je devais m’approcher de l’homme au fouet, et passer entre lui et la table.

Je pensais à une idée. Lui faire croire que je renonçais.

-OK, Ataşehir travestileri j’abandonne, » dis-je, en m’approchant de la table.

-Pas de soucis, mais par le côté, » me dit l’homme. Forcément, pour prendre les chaînes, je n’avais pas besoin de me mettre entre lui et la table, mais ça me permettait déjà de m’approcher. Il préparait son fouet, mais retenait son coup. Il ne me faisait pas confiance, et il avait raison. Mais cela me permit d’approcher de la table. Je fis mine d’hésiter.

-Le mieux est de commencer par le collier, » dit-il. Et en fait, attrapant le bord de la table je me glissais en dessous, Il décocha un coup de fouet, mais entre le pied de la table et le mur, il ne me toucha pas! J’étais ravi de mon idée, pour un court moment.

L’homme balança son fouet par l’autre côté de la table, et le coup me marqua de la cuisse jusque sur le buste, sous le bras. Je criais, mais je continuais à avancer sous la table. Puis je m’arrêtais entre les pieds après être passé dessous. Entre les pieds, je me sentais en sécurité, le fouet s’enroulerait entre les pieds, ensuite, je devrais courir, et encaisser les coups jusqu’à la porte.

Mais, Il donna un coup de bas en haut! Le fouet me toucha sur les testicules, et remonta sur le ventre. Je hurlais et basculais en avant. Il en profita pour enchaîner les coups.

-Stop, stop… » criais-je n’en pouvant plus.

-Recule, recule derrière la table. »

Dès que j’obéis, les coups cessèrent.

Je le regardai, il me regarda, puis je baissais le regard, et pris le collier sur la table. J’hésitais à retenter l’expérience… mais mon corps me faisait déjà tellement mal, que je renonçais.

-Tu es à 15 coups. À ta place je n’essaierais pas plus, » me dit-il avec un sourire en coin. Je refermais le collier autour de mon cou : vaincu.

Je pris, les fers, et posant un pied contre la table, je refermais une boucle. Un nœud commençait à se former dans mon ventre. ‘Ce n’est pas possible c’est un jeu, ils vont me relâcher ensuite,’ me dis-je.

La chaîne n’était pas assez longue pour refermer la seconde boucle de la même manière : je me mis à genoux pour refermer la seconde boucle. Dès que je me relevais, je me sentais vraiment entravé dans mes déplacements avec cette chaîne. Je pris les menottes. Je fermais une boucle autour de mon poignet droit, puis, mettant mes mains dans le dos, je refermais la seconde sur mon poignet gauche.

C’est difficile de dire à quel point je me sentais vulnérable à ce moment-là.

-Tu as oublié quelque chose. Mais tu as vraiment tenté de passer, je vais te la mettre, cette cage de chasteté, » me dit-il.

C’est l’objet qui m’avait fait peur à chaque fois qu’un homme était passé dans cette émission.

Homme plaça l’anneau de la cage contre mes bourses. Je réalisais alors que mes bourses avaient été rasées ou épilées. Non seulement mes bourses, mais tout mon corps à l’exception de ma tête. Sa main libre attrapa la peau de mes bourses et tira. La marque rouge du fouet me fit tiquer, mais une boule passa dans l’anneau. D’un doigt, il poussa la seconde. Puis il plia mon pénis et le fit passer dans l’anneau également.

-Ça, c’est la bague, » me dit-il, en mon montrant un second anneau, plus petit et de section plate. Il l’enfila sur mon pénis, et le fit monter jusqu’à la base.

-Certains arrivaient à faire sortir et entrer leurs pénis de la cage… Avec la bague impossible, » me dit-il, avec un petit sourire en coin. Ensuite, il prit la sonde d’urètre. Je me tendis.

-Ça te fais peur, remarque, moi aussi, ça me ferait peur, » dit-il avant d’appuyer sur mon pénis pour en ouvrir le méat urinaire, puis d’enfiler la sonde. La sensation était particulièrement désagréable, mais pas vraiment douloureuse.

-Ça aussi ça empêche de sortir et de rentrer son pénis, » Il prit le tube et y enfila mon pénis. Il eut un peu mal à faire sortir le bout de sonde : la cage était étroite et mon pénis ne glissait pas jusqu’au bout, puis il en-cliqua la cage proprement dite sur l’anneau, compressant complètement mon sexe pourtant au repos. La compression dû être efficace : j’arrivais au bout du tube.

-Voilà. Ça ne t’embêtera plus, » me dit-il

-Allez à genoux… tu sais ce que tu dois dire, où tu veux un coup supplémentaire? Tu sais que maintenant pour chaque coup, tu en auras un autre dans le pilori? »

Je frémis, et me mis à genoux comme je le pouvais entre les menottes et les chaînes entre mes pieds. En fait, il m’aida à ne pas tomber.

-Puis-je devenir esclave? »

-Appelle-moi Maître, »

-Puis-je devenir esclave, Maître? »

-Oui, viens me sucer… » me dit-il. Encore une chose que je redoutais avec la cage de chasteté! Je ne réagis pas à sa demande. Mais il leva son fouet, alors à genoux je m’approchais de lui sans avoir d’idée concrète de ce j’allais faire ensuite. Après, à genoux, les mains dans le dos, le déplacement me prenait quasiment toute ma charge mentale. Et que pouvais-je faire de plus que de venir mettre mon nez en face de sa braguette.

Justement, Travesti ataşehir il l’ouvrit pour en sortir sa baguette. Voir son sexe de si près me rappela, comme si c’était nécessaire, que le mien était à l’étroit dans la cage. Il attrapa mes cheveux, comme je l’avais déjà vu faire pour ceux, et celles qui avaient du mal à commencer à le sucer. Sur les vidéos, j’avais pris ce geste pour brutal. Là, il me semblait plus dirigiste.

-J’étais sûr que tu allais tenter quelque chose, c’était bien joué. Mais tu vas voir le nombre de fellations et de sodomies auxquelles tu auras droit, maintenant, » me dit-il. J’allais répondre, mais il en profita pour pousser son sexe dans ma bouche bien profond. Puis, me tirant et me poussant par les cheveux, il m’oblige à avoir un mouvement de vas et viens. Puis il me relâcha.

-Tu sais quoi faire, ou tu as besoin du fouet pour te donner le rythme? » me dit-il. Je fis comme il me dit, mais à genoux, les mains dans le dos, j’avais du mal à garder mon équilibre, et mes capacités de mouvements. Sans compter les douleurs dues aux coups de fouet.

Il devait être très excité, car rapidement il joui. Je voulais me retirer, mais il me tenait la tête.

-Non, non, il faut avaler et lécher ce que tu as loupé, » dit-il doucement, presque gentiment.

J’avais presque oublié le caméraman. Il fit un plan sur la salle. L’homme m’aida à me relever, puis quand nous fûmes sur l’image il me prit par le bras.

-Vous avez pris 15 coups. Il y cinq coups de pénalité » dit l’homme. Déjà les coups que j’avais pris me brûlaient. Je n’imaginais en prendre 5 de plus, mais surtout, je n’imaginais pas me rebeller. Surtout chaîné comme je l’étais. Il me fit me pencher vers le pilori, et le referma sur moi. Il caressa ma tête. Comme pour me conforter, ou me soulager. J’étais mort de peur. Je regrettais d’avoir essayé de passer.

Il s’éloigna, puis j’entendis le sifflement du fouet puis le coup à l’intérieur de ma cuisse gauche. Je criais. Mais il frappa à droite, m’arrachant un nouveau cri. Le coup suivant fut à gauche mais plus haut, le fouet frôla mes testicules. Il frappa encore à droite à la même hauteur. Je criais en continu.

Il attendit que j’arrête. Je pensais qu’il arrêtait.

-Il en reste un à donner, » dit-il. Je tremblais. Devais-je répondre?

-Tu as vendu ta voisine. Tu savais à quoi tu t’exposais? » me dit-il.

-Non, oui » j’avais du mal à articuler quoi que ce soit. J’avais même du mal à organiser mes pensées.

-Je veux que tu me demandes un coup sur tes testicules. » me dit-il.

-Non, s’il vous plait, non… » commençais-je pris d’une peur panique dans le pilori d’où je ne pouvais rien faire pour éviter les coups.

-Arrête. Tu es un esclave. Je vais te frapper jusqu’à ce que tu le demandes… » me dit-il. Je me tus. J’avais déjà vu une scène comme ça. Et effectivement, après deux ou trois coups supplémentaire l’esclaves avait obéi. J’avais trouvé ça très bien joué. »

-Je… Pouvez-vous euh donner un coup sur… » que c’était difficile à dire.

-Humm, c’est embrouillé. Tu veux un coup de fouet pour désembrouiller? »

-Puis-je avoir le dernier coup sur mes testicules, Maître, » dis-je sans comprendre comment j’avais réussi. Je n’eu pas beaucoup de temps pour y penser plus car le coup fût terrible, et il m’arracha un cri épouvantable.

-C’est fini, c’est fini, » dit-il en caressant ma tête. « Je sais que c’est douloureux, mais ça va t’appendre à bien obéir, d’accord. C’est dans ton intérêt. » me dit-il.

-Oui, Maître » dis-je d’une voix cassée, à peine audible.

-Tu as deux heures de repos. Et après c’est la vente. Si tu obis toujours bien, ça va bien se passer. » me dit-il, avant de s’éloigner.

-On peut le prendre? » dit une voix derrière moi. Sans doute le caméraman.

-Il vient de prendre cher. Laisse-lui une demi-heure. Et lubrifie bien, je pense qu’il n’a jamais été enculé avant. » dit L’homme ou fouet.

-Ok » répondit celui que je pensais être le caméraman, sur un ton amusé. Évidement ce qui était derrière moi, je ne pouvais pas le voir.

L’attente me semblait interminable. J’avais toujours l’espoir d’être libéré ensuite, tellement cela me semblait impossible d’être vendu comme esclave. Mais en même temps, j’avais été enlevé, fouetté. S’ils me libéraient je pourrais porter plainte. En même temps ce serait avouer ce que j’avais fait à Vanessa. Ou peut-être avais-je signé un accord en la proposant. La position me semblait insupportable, j’avais hâte d’en finir.

-Je préfère quand ce sont de jolies filles, mais tu nous as proposé un joli petit bout, avec la Vanessa. Elle a encore hurlé quand elle a su qu’elle avait été achetée par un cheik. » me dit la voix en venant me donner de petites frappes sur les fesses, puis me pincer ces mêmes fesses.

Puis il passa un doigt lubrifié entre mes fesses, et enfonça ses doigts dans mon anus.

-Bien lubrifier a dit le chef, » me glissa-t-il à l’oreille. Avant de repasser son doigt avec encore plus de lubrifiant.

-Etre enculé, c’est un truc d’esclave. Plus tu résistes plus ça fait mal. » me glissa-t-il à l’oreille. « alors que tu en ait envie ou pas, tu pousses pour ouvrir ton cul. Et si tu as mal tu ouvres plus pour en prendre plus. Si tu serres les fesses, ça va douiller… pour toi. Moi par contre… hum, si tu serres les fesses c’est encore mieux » ajouta-t-il.

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